De bouw van de bunkers

L'armée allemande n'élevait pas les bunkers à elle seule. Pour ce travail, elle faisait usage de mains flamandes, malgré le fait que personne ne sautait d'impatience pour apporter sa collaboration à l'occupant. L'hebdomadaire « De Kempenaar » a même écrit lors de la guerre que les lignes de défense prenaient du retard pour cette raison. Mais tout a changé quand l'Allemagne a promis une belle rémunération aux travailleurs et faisait preuve de plus de sévérité à l'égard de ceux qui ne voulaient pas collaborer. Toute personne qui se trouvait dans la rue lors des heures de travail sans raison valable était obligée d'aller travailler en Allemagne.

A partir de l'été de l'année 1917, l'armée allemande surveillait les lignes dans l'attente d'une attaque provenant des Pays-Bas, mais les tranchées n'ont jamais été équipées. Une année plus tard, elle a risqué le tout pour le tout afin de remporter la victoire totale, mais ces efforts se concentraient surtout sur le front de l'Ouest dans la région d'Ypres. Il était déjà clair à ce moment-là que le Mastenbos ne jouerait jamais un rôle d'importance. En fin de compte, la guerre a encore durée jusqu'au 11 novembre 1918. C'est alors que l'Allemagne a signé formellement un armistice dans un wagon de train dans la forêt de Compiègne, au nord de Paris. 

Die deutsche Armee errichtete die Bunker nicht ohne Hilfe. Sie ließen sich von Flamen helfen, obwohl niemand gerne bereit war, dem Besatzer zu helfen. Die Wochenzeitschrift "De Kempenaar" schrieb während des Krieges sogar, dass der Bau der Verteidigungslinie sich dadurch verzögerte. Das änderte sich aber, als Deutschland einen guten Lohn versprach und strenger vorging gegen diejenigen, die nicht mitarbeiten wollten. Diejenigen, die sich während der Arbeitsstunden ohne triftigen Grund auf der Straße aufhielten, wurden dazu verpflichtet, in Deutschland an die Arbeit zu gehen.

Ab dem Sommer 1917 beaufsichtigte die deutsche Armee die Linie, in Erwartung eines Angriffs aus den Niederlanden, die Schützengräben sind aber nie bemannt worden. Ein Jahr später setzte die deutsche Armee alles dran, um einen allgemeinen Sieg zu erringen, sie fokussierten sich dabei aber vor allem auf die Westfront um Ieper. Schon damals war es deutlich, dass der Mastenbos nie eine wichtige Rolle spielen würde. Der Krieg dauerte schließlich noch bis zum 11. November 1918. Dann unterzeichnete Deutschland einen Waffenstillstand in einem Salonwagen mitten im Wald beim nordfranzösischen Compiègne. 

The German army did not erect the bunkers by itself. They used Flemish people for this, although nobody was enthusiastic about helping the occupying forces. The weekly De Kempenaar wrote during the war that the defence line was even delayed as a result of this. However, this changed when Germany promised to pay good money and took a firmer line against anyone who refused to cooperate. People who walked in the streets during working hours without any valid reason were forced to go and work in Germany.

From the summer of 1917 onwards, the German army guarded the line against potential attacks from the Netherlands. However, the trenches were never manned. One year later, it gave its all to achieve a general victory, but in doing so they mainly focused on the Western Front around Ypres. It was already clear at that time that the Mastenbos would never play a significant role. In the end, the war still lasted until 11 November 1918, when Germany formally signed an armistice in a train wagon in Compiègne forest, situated to the north of Paris.